Lecture
Ici je parlerai des livres que j'ai lus et que j'ai aimés!
Je suis une inconditionnelle de certains auteurs mais j'aime bien découvrir un nouveau nom par hasard!
Un temps j'ai lu tout Sartre,De Beauvoir, Steinbeck, Pearl Buck,Hemingway,puis Georges Sand....en ce moment je lis Musso,Levy...
George Sand
George Sand, pseudonyme d'Aurore Dupin, est une écrivaine française, née le 1er juillet 1804 à Paris et décédée le 8 juin 1876 à Nohant, dans le Berry. Ses origines sont à la fois aristocratiques et populaires : son père est un descendant du maréchal de Saxe – du sang des rois de Pologne coule donc dans ses veines – et sa mère, au contraire, est fille d'un oiseleur du quai de la Mégisserie.
Elle est élevée par sa grand-mère, dès 1808, à la mort accidentelle de son père. Après des études au couvent des Dames augustines anglaises, elle revient vivre à Nohant, puis elle épouse le baron François Casimir Dudevant avec lequel elle a deux enfants.
Cette union se révèle, hélas, malheureuse, son mari préférant la chasse, le vin et les amours ancillaires à la lecture et à la musique. Il se montre même parfois violent.
En 1830, Aurore quitte donc son époux pour aller vivre à Paris, avec son amant Jules Sandeau. Elle y gagne sa vie en écrivant tout d'abord des « bigarrures » dans Le Figaro, puis des romans sous le pseudonyme de J. Sand tout d'abord (pour Rose et Blanche – écrit avec Jules Sandeau), puis sous celui de George Sand dès 1832 quand elle compose seule Indiana (le prénom George, écrit à l'anglaise sans le « s » final, lui permet de se dissimuler et d'affirmer sa force : une femme peut agir à l'égal d'un homme).
Sa carrière, fructueuse, est désormais lancée : elle écrit près de cent romans, une importante œuvre théâtrale, un grand nombre d'articles de presse et une impressionnante correspondance.
Sa conduite est souvent jugée scandaleuse : elle s'habille en homme, fume, est indépendante financièrement, écrit des romans engagés… ce qui pour les bonnes consciences conservatrices de l'époque est tout à fait inacceptable !
Elle participe au lancement de plusieurs journaux politiques (La Revue indépendante, La Cause du peuple…) et fait partie – en coulisse, les femmes n'étant pas éligibles – du gouvernement provisoire de 1848. Ses idéaux républicains, sa lutte pour l'égalité homme/femme, son désir de justice sociale, la promotion des plus faibles, son amour du peuple ne se démentiront jamais et seront présents dans toute sa production littéraire, y compris dans ses romans dits « champêtres » auxquels on la réduit trop souvent.
Les plus grandes figures de la politique (Louis Blanc, Pierre Leroux, Emmanuel Arago…), de la musique (Frédéric Chopin – avec qui elle vivra neuf ans –, Franz Liszt…), de la peinture (Eugène Delacroix…), du théâtre (l'acteur Bocage, Marie Dorval…) et bien sûr de la littérature (Honoré de Balzac, Victor Hugo, Alexandre Dumas fils, Gustave Flaubert…) traverseront l'existence de George Sand, devenue leur amie.
Déçue par la tournure des événements de 1848, puis opposée aux excès de la Commune de Paris, elle se retirera sur sa terre de Nohant, où elle cultivera « l'art d'être grand-mère » et poursuivra sa carrière d'auteur à succès.
Parmi ses œuvres les plus connues, notons : Indiana (1832), Lélia (1833), Consuelo (1842), La Mare au diable (1846), François le Champi (1847-1848), La Petite Fadette (1849), Histoire de ma vie (autobiographie, 1854-1855), Contes d'une grand-mère (1875)…
G. Sand par Auguste Charpentier
Bibliographie
Je suis loin d'avoir tout lu,j'ai lu pas mal de livres au lycée,j'en ai relu qq uns depuis:
Histoire de ma vie
La jeune Aurore en janvier 1831 quitte Nohant pour Paris, pour devenir George, écrivain. Toute sa vie de romancière sera marquée par ces doux lieux : Paris la tempête et Nohant le calme. Son ambition ici est d'offrir le récit d'une existence de femme et d'écrivain qui côtoie rapidement Balzac et Sainte-Beuve, l'abbé de Lamennais et le socialiste Pierre Leroux, et bien sûr Musset et Chopin.
La petite Fadette
Dans le pays, deux jumeaux sont nés : Landry et Sylvinet; c'est ce qui vaut le surnom de la maison : "La Bessonière".
Ils sont très liés, et Sylvinet est très malheureux lorsque Landry part travailler à la ferme voisine.
Un jour Sylvinet se sauve, et ses parents et son besson sont très inquiets, et c'est ainsi que Landry va partir à sa recherche, mais il ne le trouve pas...
C'est alors qu'il rencontre la petite Fadette, très mal réputée dans le pays, qui l'aide à découvrir Sylvinet avant l'orage en échange d'animaux de la ferme.
Mais Landry n'ose pas dire à ses parents qui l'a aidé à retrouver son frère, et la veille de la journée de danse, il se perd et manque de se noyer dans la rivière. Heureusement la petite Fadette était là pour le ramener sur le chemin menant à la maison. En échange, il lui promet de lui accorder toutes les danses du dimanche suivant. Landry respecte sa promesse mais tout le monde se moquent d'eux, car la pauvre Fadette est habillée comme une souillon malgré ses efforts pour bien s'habiller.
Ainsi, au bout de quelques danses, notre petite Fadette s'enfuit mais Landry court après elle : il veut respecter sa promesse. Il la trouve pleurant sur un gros rocher dans une clairière, et il lui parle jusqu'à ce que la nuit arrive.
Cette conversation a marqué Landry et il va régulièrement parler avec la petite Fadette. Il commence à l'estimer... Chaque jour il vient la voir un peu plus mais la jalousie commence à envahir Sylvinet.
Un hiver à Majorque
Un hiver à Majorque est un récit de voyage autobiographique de George Sand paru en 1842. Il raconte un voyage fait à Majorque en 1838-1839 avec Frédéric Chopin. Il est d'abord paru en 1841 dans la Revue des Deux Mondes.
Contes d'une grand-mère
Les contes d'une grand-mère ont été composés entre 1872 et 1875. Les mots racontés par George Sand au fil des soirées à ses deux petites filles, Aurore et Gabrielle, ont été d'abord publiés sous forme de feuilletons dans la « Revue des deux mondes » et « Le Temps ». La plupart n'ont pas été fixés sur le papier. Ceux qui restent le sont pour notre plaisir.
Histoire du véritable Gribouille
Gribouille a de mauvais parents. Son père profite de son statut de garde-chasse pour rançonner et voler, imité par les frères et soeurs de Gribouille. La mère trouve son dernier-né trop candide. Tous le houspillent.Un mystérieux personnage, Monsieur Bourdon, propose à Gribouille de venir dans son château. Brutalement chassé par ses parents pour devenir l'héritier de Bourdon,Gribouille servira aussi d'intermédiaire entre la Reine des Abeilles et Bourdon.Dans le château de Bourdon, la vie dorée n'est pas rose : Gribouille subit les brimades des valets, les disputes de Bourdon et de son épouse, la fille de la Reine des Abeilles.Il est accablé de leçons de mathématiques et de comptabilité pour apprendre à devenir un bon gestionnaire...Désireux de lui transmettre sa vision du monde, Monsieur Bourdon met en lumière un parallèle entre le peuple des Abeilles, laborieux, sur-productif et avare, celui des Fourmis, pillant pour thésauriser, et celui des Frelons et des Bourdons, tuant pour consommer.Ces trois peuples se livrent une guerre cauchemardesque. Bourdon conseille à Gribouille de prendre le parti des Frelons, mais Gribouille s'enfuit et retrouve sa liberté en se jetant dans la rivière...
Olivier Adam
Je viens de terminer un très beau livre de cet auteur:
Né en 1974, Olivier Adam est l'auteur de «Passer l'hiver», prix Goncourt de la nouvelle 2004, de «Poids léger» et «Je vais bien, ne t'en fais pas», respectivement adaptés au cinéma par Jean-Pierre Améris et Philippe Lioret.
Résumé du livre
Depuis que sa femme a disparu sans plus jamais faire signe, Paul Andersen vit seul avec ses deux jeunes enfants. Mais une année s'est écoulée, une année où chaque jour était à réinventer, et Paul est épuisé. Il espère faire peau neuve par la grâce d'un retour aux sources et s'installe alors à Saint-Malo, la ville de son enfance.
La revue de [presse]
Livres Hebdo - Alexandre Fillon (14 Novembre 2008)
Très doué pour peindre un climat de bord de mer hors saison, Olivier Adam emporte une nouvelle fois l'adhésion avec le portrait senti d'un père, qui ne gronde pas et n'élève jamais la voix (.. .).
Le Nouvel Observateur - Jérôme Garcin (15 Janvier 2009)
C'est ça, le roman émotif du très sensible Olivier Adam, un précis de guérison et, dans une prose sans graisse, le beau portrait d'un homme lourd qui, cessant de se réfugier en lui-même, de se préférer, entre sur le tard dans l'âge adulte.
Télérama - M.A. (17 Janvier 2009)
Avec un sens aigu du romanesque, Olivier Adam écrit au plus près des émotions, alliage de rugosité et de finesse, de brutalité et de sensibilité, de glace et de générosité, donne à son texte et à son personnage une voix formidablement juste, entêtante et émouvante.
Lire - Christine Ferniot (Février 2009)
Olivier Adam n'est jamais lyrique, il trouve le mot juste qui ébroue le lecteur et l'emmène où il veut, loin du confort et des certitudes.
Patrick Cauvin
Biographie
Durant ses études il découvre la philosophie et obtient une licence dans cette discipline.
A son retour de deux ans en Algérie comme soldat il enseigne le français dans un collège de banlieue parisienne jusqu'en 1976.
Puis il devient critique de cinéma pour le journal "Pilote" et commence à écrire des romans policiers comme "Darakan", la série "Reiner"...
Marié père de deux enfants ,il est décédé vendredi 13 Août!
Dans un appartement du passage des Panoramas, André Berthold, "nègre" littéraire de son état, découvre des lettres d'amour oubliées, et part à la recherche de la femme mystérieuse, M., qui les a écrites.
Deux arnaques énormes, monstrueuses. Mais aussi deux histoires d'amour, et deux femmes, de ces "croqueuses de diamants et de coeurs" qui savent emmener les hommes sur de merveilleuses galères
Berthier, c'est un aventurier du bobard, un pro du boniment, un spécialiste de l'artifice
Jerri Nielsen
Je viens de terminer ce livre de Jerri Nielsen:
La prison de glace (extraits)
en anglais
Quatrième de couverture :
C'est une aventure incroyable, surhumaine. Une aventure qui défie la raison mais où triomphe la vie. A l'autre bout du monde, au Pôle Sud, là où l'obscurité est totale durant huit mois et où la température peut descendre jusqu'à moins soixante-dix degrés au dessous de zéro, une femme est le seul médecin d'un centre de recherche. Elle vient de quitter les Etats-Unis après un douloureux divorce et prend un nouveau départ avec cette expérience qui ressemble à un pari. Elle doit veiller à la santé physique et morale de quarante et un scientifiques et techniciens dans cet enfer blanc. Face aux périls et à la solitude, une équipe se soude, des liens d'amitié se nouent, une communauté se forme dans l'adversité. Mais une épreuve plus terrible encore l'attend : se découvrant atteinte d'un cancer, elle devra se soigner par ses propres moyens. Grâce à son courage et à sa formidable volonté, elle parviendra à survivre. Ce que personne n'a jusqu'alors vécu, elle le raconte dans ce livre. Un document exceptionnel et bouleversant. Une formidable leçon d'histoire.
Book Description
J'aimerais voir ce film pour vraiment comprendre dans quelles conditions ont vécu ces personnes,difficile de se représenter la grande nuit au pôle,avec cette vie en vase clos et la maladie.(même si je sais que c'est une reconstitution)
Le tag des livres
2-As-tu déjà reçu un livre en cadeau ?
3-Lis-tu dans ton bain ?
5-Que penses-tu des séries de plusieurs tomes ?
7-Rencontrer ou non l’auteur du livre ?
8-Aimes-tu parler de tes lectures
9-Comment choisis-tu tes livres ?
10-Aimes-tu relire ?
11-Une lecture inavouable ?
13-Un livre idéal serait pour toi ?
14-Lire et manger ?
15-Lecture en silence, en musique, peu importe ?
16-Le livre te tombe des mains, tu vas quand même jusqu’au bout ?
17-L’auteur que tu regrettes de ne pas avoir lu ?
18-Ton livre de chevet du moment?